Liberté de conscience : appel aux dons pour soutenir la plainte internationale d’un chrétien algérien contre l’Algérie

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Le 15 janvier 2025, nous apprenions que l’Algérie avait décidé de fermer l’ensemble des églises protestantes évangéliques sur son territoire et d’interdire les conversions au christianisme. L’Algérie viole ainsi la liberté de conscience qui est pourtant garantie par sa propre Constitution et par le droit international.

Un Algérien de confession protestante a décidé de porter plainte contre son pays devant la Commission africaine des droits de l’homme et des peuples de l’Union africaine.

L’Algérie est membre de l’Union africaine depuis 1964 et du G4 de celle-ci qui regroupe les pays membres les plus importants. L’article 8 de la Charte africaine prévoit que « la liberté de conscience, la profession et la pratique libre de la religion sont garanties. Sous réserve de l’ordre public, nul ne peut être l’objet de mesures de contrainte visant à restreindre la manifestation de ces libertés ». Un recours devant le Comité des droits de l’homme de l’Organisation des Nations unies est également étudié.

Ce citoyen courageux est épaulé par l’association française LÉA dont la mission est d’accompagner sur les plans psychologique et juridique des victimes de discrimination.

Par les voix de maîtres Erwan Binhas et Anthony Reisberg, le collectif Justitia de l’Institut Thomas More assure l’expertise juridique et le bon suivi de cette plainte.

La durée de celle-ci est pour le moment indéterminée et dépendra des retours de la Commission africaine.

Le coût jusqu’au dépôt de la plainte a été évalué à 10.000 euros. Nous ne parviendrons pas à franchir cette première étape sans votre générosité !

Nous lançons dès lors un exceptionnel appel aux dons. Nous vous tiendrons bien sûr informés des démarches que nous entreprendrons.

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