Le Collectif Justitia — par l’intermédiaire de l’un de ses avocats, Maître Louis Cailliez —, a soutenu Monsieur Adrien Louis dans l’exercice de son droit de réponse, suite à un article publié par Disclose l’accusant nommément de participer à une « infiltration de l’extrême droite » à l’Université catholique de l’Ouest (UCO). L’intervention du Collectif a permis à Monsieur Louis de faire publier sa réponse sous l’enquête (réponse à consulter ici).
L’article de Disclose, réalisé en collaboration avec La Topette et Reflets.info, pointe du doigt le milliardaire Pierre-Édouard Stérin comme mécène d’un fonds de dotation — le fonds John Henry Newman — investissant à l’UCO depuis 2023.
Selon l’enquête, Monsieur Stérin financerait l’université pour exercer une influence idéologique : Disclose affirme que de nombreux enseignants et étudiants seraient « déjà acquis aux idées de la droite radicale ». L’article se veut à charge, manquant cruellement d’objectivité et de faits prouvés.
Dans ce contexte, les journalistes, Ariane Lavrilleux (Disclose), Julien Collinet (La Topette) et Antoine Champagne (Reflets.info), ciblent plusieurs enseignants de l’UCO, dont Monsieur Louis, en affirmant que leurs enseignements participeraient à la diffusion d’“argumentaires conservateurs” ou “droitiers” légitimant l’investissement de Monsieur Stérin.
Les affirmations à l’encontre de Monsieur Louis sont diffamantes : de manière publique, les journalistes l’imputent personnellement d’un fait précis susceptible de faire l’objet d’un débat sur sa preuve — le fait d’être acteur de l’entreprise d’infiltration de l’UCO par l’extrême droite en présentant l’immigration dans son cours « comme un ennemi intérieur ou extérieur ». Ces allégations portent directement atteinte à l’honneur et à la considération de Monsieur Louis, dès lors qu’un comportement moralement répréhensible (un supposé manque d’intégrité professionnelle et de neutralité professorale) lui est reproché.
C’est pourquoi, par l’intermédiaire du Collectif Justitia et de Maître Cailliez, Monsieur Louis a exercé auprès du média Disclose son droit de réponse. La réponse de Monsieur Louis en réaction à ces allégations diffamantes est désormais publiée sous l’enquête.